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PCB : François Bergoglio, la bénédiction des gays et le Concile de Vatican II

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Jorge Bergoglio s’est publiquement rebellé contre Dieu et contre l’Église. Il occupe la position la plus élevée et terrorise toute l’Église. Il se présente de manière convaincante comme étant le représentant de Jésus-Christ, même s’il s’est consacré publiquement à Satan au Canada. Il viole les lois de Dieu et le péché de sodomie – qui est l’un des péchés qui crient jusqu’au ciel et que les Saintes Écritures qualifient d’abomination ; elles mettent en garde contre cela en menaçant d’une peine temporaire (2P 2,6) ainsi que de la peine du feu éternel (Jude 7) – n’est même pas considéré par lui comme étant un mal. De plus, il promeut une chose qui n’a jamais été acceptée au cours de l’histoire, ni même dans les nations païennes, ni cannibales, à savoir qu’une cohabitation pécheresse de deux sodomites serait considérée comme un mariage et que les enfants leur seraient volés dans le but d’une prétendue adoption. Le summum de l’audace et de la rébellion de Bergoglio contre Dieu, les lois de Dieu et la morale naturelle, est que ce crime est béni par une fausse légalisation de l’Église.

Sous la menace de se débarrasser des évêques et de licencier les véritables et fidèles bergers, il promouvra ce crime qui crie jusqu’au ciel en tant que condition préalable à l’existence d’une sorte de nouvelle anti-Église. Il n’y aura pas de place pour un évêque orthodoxe, ni pour un prêtre orthodoxe, ni pour un croyant orthodoxe. Cette transition vers le Nouvel Âge, vers une synagogue de Satan, est déjà en cours et son chef est Jorge Bergoglio, qui s’était déjà consacré à Satan. Il fait tout avec ruse, insidieusement et par étapes. La plus grande tragédie est que ces crimes sont acceptés par les évêques, les prêtres et les croyants catholiques. Ils sont incapables de bouger et de tenir tête à cet intrus et meurtrier spirituel ! C’est la plus grande tragédie ! Dieu a permis qu’à travers cette personne se révèle un véritable état de pourriture spirituelle, qui progressait depuis le Concile de Vatican II. Ce Concile a préparé le chemin vers la situation actuelle au sein de l’Église.

Par conséquent, afin d’effectuer une véritable pénitence devant Dieu, nous devons être clairs sur les vérités fondamentales de la foi, qui sont une condition préalable à notre salut et qui ne peuvent être ni relativisées, ni remises en question. Nous devons remonter à l’époque où commença l’empoisonnement spirituel de l’Église. Cet empoisonnement, appelé modernisme, se produisit au tournant du XIXe et du XXe siècle. Dieu nomma le saint pape Pie X, qui prit une position radicale contre le modernisme. Jusqu’à la moitié des professeurs et la moitié des étudiants des séminaires durent être expulsés. Le saint du Saint-Siège put arrêter cette infection. L’éveil spirituel s’installe à travers la dévotion au Sacré-Cœur de Jésus. Les premiers vendredis, les premiers samedis de Fatima et d’autres éléments pastoraux furent introduits, qui conduisirent à une véritable repentance et à une véritable vie intérieure avec Dieu. En même temps, la dévotion au Christ Roi se répandit. Même des enfants moururent en martyrs au Mexique. Avant de mourir, ils criaient : « Viva Cristo Rey ! » (« Vive le Christ-Roi ! »).

Le professeur d’histoire Angelo Roncalli, qui fut ensuite nommé pape Jean XXIII par les francs-maçons, échappa au châtiment du modernisme. Il convoqua un Concile et installa des modernistes cachés en tant que modérateurs. Paul VI continua son programme et approuva ce Concile erroné. L’autorité suprême fut abusée. Ces deux papes furent excommuniés à titre posthume pour avoir ouvert la porte aux hérésies et à l’esprit du monde, dont nous récoltons aujourd’hui les fruits. Aujourd’hui, Bergoglio complète le slogan du Concile – l’aggiornamento avec le monde – en approuvant la bénédiction de la cohabitation pécheresse des sodomites.

Ce Concile publia également la déclaration Nostra Aetate sur le respect des autres religions, c’est-à-dire des cultes païens et de leurs démons.

Quant à celui qu’on appelle saint Jean-Paul II, il convoqua en 1986 les représentants de diverses sectes païennes adoratrices de Satan à Assise, où il pria avec eux. Ce geste apostat déforma complètement l’opinion publique au sein de l’Église, comme si la voie du salut, liée au sacrifice rédempteur du Christ, équivalait aux cultes païens qui adorent les démons. La mission fut de facto supprimée. Cela commença à être qualifié de manière péjorative de prosélytisme et de crime de soi-disant inculturation. D’autre part, la porte s’ouvrit à l’anti-mission de l’hindouisme et du bouddhisme à travers le yoga, les arts martiaux, la méditation orientale, les pratiques associées au yin et au yang, les horoscopes chinois, le feng shui, l’acupuncture et la fascination pour la pseudo-spiritualité orientale. Tout cela infecta la pensée des catholiques. Il n’était pas possible de s’y opposer, car cela aurait constitué une rébellion contre le Concile de Vatican II, contre le Pape et contre le respect des autres religions. Il s’agit d’un crime du Concile de Vatican II.

De plus, il n’était pas permis de désigner le véritable noyau du paganisme ou de parler d’un péché commis contre le premier commandement en relation avec des pratiques païennes liées à la superstition, à l’ésotérisme, à l’occultisme, à diverses formes de magie et de divination, ainsi qu’à l’homéopathie, qui a également la magie et la divination à sa racine. Les monastères étaient infestés de méditations et de pratiques orientales, évinçant la véritable spiritualité chrétienne. Tout apologiste avertissant du danger aurait été immédiatement révoqué par l’autorité de l’Église. Un tel changement de mentalité s’est produit après Vatican II. L’apologie fut détruite, tout comme la véritable mission.

Bergoglio acheva l’apostasie de Vatican II avec les sorcières et sorciers amazoniens dans les jardins du Vatican. Il intronisa ensuite le démon Pachamama dans la basilique principale de l’Église. Le point culminant est son dévouement envers Satan, au Canada.

Plutôt que d’employer un langage théologique avec des définitions claires, le Concile de Vatican II a introduit des expressions ambiguës, ouvrant ainsi la porte à l’esprit d’hérésie. Bergoglio couronne de manière exemplaire ce langage religieux juteux. La vérité est relativisée, on ne fait plus la distinction entre le bien et le mal.

Immédiatement après le Concile, la porte fut ouverte à la méthode historico-critique en théologie dans toutes les universités. Les professeurs orthodoxes furent qualifiés de conservateurs, de fondamentalistes, d’ennemis de l’Église et du progrès, et ils furent licenciés. Le mantra Nostra Aetate et Secundum Vaticanum fut chanté dans toutes les disciplines théologiques.

Sur le plan liturgique, cela se traduisit bien sûr par l’orientation de l’autel vers le peuple et par le prêtre éloigné du centre, le tabernacle. Il s’agissait de remplacer le théocentrisme par l’homocentrisme. La spiritualité traditionnelle sur laquelle des générations entières avaient vécu pendant près de deux millénaires fut perturbée par l’esprit de l’aggiornamento.

C’est là le fruit de Vatican II, que l’archi-hérétique Jorge Bergoglio porte actuellement à maturité.

L’idole de Vatican II est profondément enracinée dans le clergé et l’épiscopat actuels. Jusqu’à présent, il n’a pas été possible de pointer du doigt ni les crimes du Concile de Vatican II, ni l’esprit d’apostasie, bien qu’il soit responsable de l’état actuel d’apostasie massive de Jésus-Christ. Cependant, à moins de qualifier Vatican II d’hérétique, il ne peut y avoir de renouveau spirituel. Nous comprenons que de nombreux hiérarques sincères, qui ont à cœur la restauration de l’Église, citent les documents de Vatican II afin de convaincre Bergoglio de ses crimes spirituels. Il faut néanmoins être conscient du caractère double de cette méthode.

Si nous parlons du Concile comme d’une autorité, nous ne pouvons pas automatiquement le qualifier d’hérétique, et nous fermons ainsi la porte à tout renouveau. Il faut savoir que des éléments d’orthodoxie ont été inclus dans les documents de Vatican II afin que les modérateurs du Concile les utilisent comme bouclier et afin de promouvoir des hérésies cachées. Même ceux qui sont dotés du même esprit que Bergoglio, font appel au Concile et à Jean-Paul II. Ils prétendent être les véritables interprètes et exécutants de l’esprit de Vatican II. Il y a là une amère vérité. Nous devons en être conscients. L’esprit de Vatican II a ouvert la porte au modernisme et au syncrétisme. Cela a paralysé la véritable apologétique et la véritable mission. D’un autre côté, il a ouvert la voie au libéralisme total et au laxisme. Bergoglio le complète par le satanisme et par l’apostasie publique du Christ et de ses enseignements. C’est pourquoi le Concile de Vatican II doit être appelé ce qu’il était et ce qu’il est encore : un Concile hérétique.

Pour qu’un réveil spirituel ait lieu, l’Église doit accepter la réalité selon laquelle la canonisation du soi-disant saint Jean XXIII, du soi-disant saint Paul VI et du soi-disant saint Jean-Paul II, décrétée par l’archi-hérétique Bergoglio, n’est pas valable, et ce pour deux raisons. Premièrement, tous les actes d’un hérétique n’ont aucune force, et deuxièmement, les personnes concernées ont commis un crime contre l’Église en ouvrant la porte à un courant hérétique. Ces papes étaient obligés de sauvegarder les vérités de la foi et de la morale, et de garder l’Esprit de Dieu. Il était de leur devoir de lutter contre l’esprit d’hérésie et l’esprit du monde. Ils ont négligé ce devoir primordial et ont été responsables des métastases qui se sont répandues dans toute l’Église. De plus, ils ont fait exactement le contraire, à savoir soutenir et bénir les métastases. Ils ont ouvert la porte à la méthode historico-critique hétérodoxe dans les universités et facultés de théologie catholiques. Ils ont prôné la déclaration hérétique Nostra Aetate et le soi-disant dialogue interreligieux. De cette manière, ils ont en fait amené l’Église à être systématiquement infiltrée par l’esprit du paganisme. Ce sont là les crimes dont sont responsables ces trois papes conciliaires et postconciliaires.

Il y a bien d’autres raisons pour lesquelles ces personnes ne peuvent en aucun cas être vénérées par l’Église comme des héros de la foi qui défendent l’Église, combattent pour l’Église et sont prêts à risquer leur vie pour elle. Ils ont fait exactement le contraire, et ils doivent donc être excommuniés à titre posthume, tout comme le pape Honorius Ier fut excommunié pour avoir gardé le silence sur l’hérésie du monothélétisme.

Le drame est que Benoît XVI, bien que partisan de l’orthodoxie, n’a pas résisté à la pression psychologique exercée par le slogan santo subito, et a béatifié Jean-Paul II. Ce faisant, il a sanctifié le crime d’apostasie d’Assise commis en 1986.

Se repentir, c’est appeler la vérité la vérité, l’hérésie, une hérésie, et un hérétique, un hérétique. Si les évêques et les prêtres continuent à vivre dans la schizophrénie spirituelle, incapables d’appeler les choses par leur nom, ils deviendront victimes et, par conséquent, complices de l’enterrement collectif de l’Église catholique. À l’avenir, on les traitera de fossoyeurs de l’Église, de criminels et de traîtres par rapport au Christ.

Aujourd’hui, chaque évêque et chaque prêtre est obligé de défendre notre Seigneur Jésus-Christ, tout comme l’ont fait les martyrs, surtout au cours des trois premiers siècles. Ils étaient prêts à sacrifier leur vie et à subir les tortures les plus cruelles. Que le sang des martyrs coule dans nos veines. Qu’il y ait de nouveaux héros de la foi qui s’élèvent contre le plus grand criminel et bourreau de l’Église catholique, le pseudo-pape Jorge Bergoglio. Il s’est publiquement consacré à Satan de manière provocante. C’est pourquoi, à partir du moment de sa déclaration sur la bénédiction des sodomites, il n’est plus possible de mentionner dans la messe l’union à cet archi-hérétique François Bergoglio. Si un prêtre ou un évêque le fait, il s’attire sur lui la malédiction spirituelle de Dieu, la cécité et la paralysie totale, l’incapacité de défendre la vérité et le Christ. Il est sur le chemin de la destruction éternelle.

Quant aux fidèles, ils devront avertir leur curé de cesser de prononcer le nom du grand hérétique lors de la sainte messe. S’il refuse, les fidèles ne devront plus assister à cette messe. L’obligation dominicale peut alors être accomplie par des prières, des chants et la lecture des Saintes Écritures. En n’assistant pas à la messe célébrée en union avec un archi-hérétique dédié à Satan, non seulement les fidèles ne commettent pas de péché, mais ils se protègent contre la malédiction apportée par cette messe.

Chers évêques, prêtres et croyants, nous sommes à un moment historique où il faut vous donner une parole de direction très claire : nous devons rester fidèles au Christ ! La condition de la fidélité au Christ consiste à renoncer à la soumission à une personne occupant la fonction papale et à se consacrer en même temps à Satan. Le Concile de Vatican II doit être appelé ce qu’il était et ce qu’il est encore, à savoir un Concile hérétique.

Le Christ est vainqueur ! Le Christ règne ! Le Christ commande !

 

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr           + Timothée OSBMr

Évêques secrétaires

 

Le 18 octobre 2023

 

Téléchargement : PCB : François Bergoglio, la bénédiction des gays et le Concile de Vatican II (18/10/2023)

 

 

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