skip to Main Content

PCB : Les enseignements de saint Bellarmin concernant un hérétique siégeant sur le trône papal

https://unbefleckt.wistia.com/medias/0n3te6ex99

Regardez cette vidéo sur: https://unbefleckt.wistia.com/medias/0n3te6ex99   
https://rumble.com/v41gqeq-saint-bellarmin.html   
https://cos.tv/videos/play/49319502781387776   https://youtu.be/j9G-UyltJCE  
https://www.bitchute.com/video/Mjwtda61Uako/   

Extrait de St Robert Bellarmin, De Romano Pontifice, Livre II, Chapitre 30 :

Saint Robert Bellarmin (1610) : « Le Pape qui est manifestement hérétique cesse par lui-même d’être Pape et chef, de même qu’il cesse d’être chrétien et membre du corps de l’Église ».

Cette déclaration de saint Bellarmin est conforme à la Parole de Dieu, à la Tradition de l’Église, et est confirmée par les VIe et VIIIe Conciles généraux. Elle repose sur l’hypothèse fondamentale selon laquelle un hérétique s’est exclu de l’Église et n’en est pas membre, et ne peut donc pas non plus en être le chef. Cette affirmation s’applique pleinement au pseudo-pape Bergoglio car ses hérésies sont manifestes. Si l’Église ne s’oppose pas à ses hérésies au moins maintenant, elle se transformera en une anti-Église de Satan, conformément à son programme.

Saint Bellarmin explique encore : « Il est prouvé par des arguments d’autorité et de raison que l’hérétique manifeste est déposé « ipso facto » (par le fait même). L’argument d’autorité s’appuie sur saint Paul (Tite, 3), qui ordonne d’éviter l’hérétique après deux avertissements, c’est-à-dire après s’être montré manifestement obstiné – c’est-à-dire avant toute excommunication ou condamnation judiciaire ».

Saint Bellarmin fait appel aux arguments de la raison et de l’autorité, c’est-à-dire à l’apôtre Paul, et souligne qu’un hérétique manifestement obstiné est ipso facto exclu de l’Église.

Saint Bellarmin déclare encore : « Et c’est ce qu’écrit saint Jérôme, ajoutant que les autres pécheurs sont exclus de l’Église par une sentence d’excommunication, mais que les hérétiques s’exilent et se séparent, de par leur propre acte, du corps du Christ. Le non-chrétien ne peut en aucune manière être Pape… il ne peut pas être le chef de ce dont il n’est pas membre ; or, celui qui n’est pas chrétien n’est pas membre de l’Église, et un hérétique manifeste n’est pas chrétien, comme l’enseignent clairement saint Cyprien (lib. 4, épist. 2), saint Athanase (Ser. 2 cont. Arien), St Augustin (lib. De grat. Christ. cap. 20), St Jérôme (Dial. contra Lucifer.) et autres; donc l’hérétique manifeste ne peut pas être pape ».

Saint Paul évoque l’anathème, qui signifie l’excommunication pour avoir prêché un autre évangile. Le mot anathème signifie aussi malédiction, et le fruit de cette malédiction est la damnation éternelle en enfer pour ceux qui, par un repentir adéquat, ne retournent pas, tant qu’il est temps, à l’Église du Christ, non à la synagogue de Satan, comme Bergoglio et sa secte représente aujourd’hui.

Une brève instruction selon l’Écriture, saint Bellarmin et le pape Paul IV, appliquée à la situation actuelle :

Bergoglio, qui occupe la fonction de chef de l’Église, n’est en fait pas le chef de l’Église du Christ, mais de l’anti-Église appelée Eglise Profonde. Il ne s’agit pas du Corps du Christ, mais du Corps de l’Antéchrist. Ceci est démontré par le fait que Bergoglio a intronisé le démon Pachamama dans la basilique principale de l’Église, s’est fait publiquement consacrer à Satan par un sorcier au Canada, promeut un anti-évangile sodomite et introduit des anti-sacrements tels que la bénédiction par l’Église des unions sodomites ainsi qu’un pseudo-sacerdoce avec l’ordination non valable des femmes, des lesbiennes et des transsexuels.

C’est le système de l’antéchrist et Bergoglio est le chef de cet organisme pernicieux ! Il n’est pas le chef de l’Église du Christ. C’est un homme dédié à Satan, qui abolit les lois de Dieu et introduit des anti-lois qui contredisent même les lois naturelles. Avec un faux évangile (cf. Gal 1, 8-9), il conduit les catholiques trompés à la destruction. La déclaration de l’apôtre Paul dans 2 Thessaloniciens au sujet de la rébellion contre Dieu s’applique pleinement à Bergoglio. Bergoglio n’est pas un hérétique ordinaire ; il a eu dès le début l’intention de détruire l’Église en son sein. Rien ne pourrait être pire pour l’Église. Même saint Bellarmin disait : « Ce serait la condition la plus misérable de l’Église si elle était obligée de reconnaître un loup manifestement enragé comme étant un berger ».

Malheureusement, l’Église catholique se trouve aujourd’hui dans une situation des plus misérables. C’est l’hérésie de la papolâtrie qui y contribue, qui prétend que le Pape peut commettre les plus grandes hérésies qui existent et rester Pape. Les papolâtres disent : « Le Pontife romain ne peut pas tomber dans une hérésie formelle en raison de l’assistance divine offerte aux successeurs de saint Pierre, qui est donnée en réponse à la prière du Christ pour la foi inébranlable de Pierre ». L’histoire a montré que cette affirmation contredit la réalité. Il est absurde d’utiliser cette affirmation pour nier des faits évidents et faire croire que les hérésies flagrantes de Jorge Bergoglio n’existent pas.

La conséquence est que l’Église, en suivant son exemple, comme s’il était un véritable Pape, doit rejeter les lois de Dieu, accepter la bénédiction des unions sodomites et prendre pour acquis son dévouement sans précédent à Satan, tandis qu’elle fait hypocritement appel à la prière du Christ pour l’apôtre Pierre. Il s’agit d’une tragique illusion. De la même manière, les Juifs affirmaient de manière démagogique que Dieu ne pouvait pas permettre la destruction du temple. Et alors que celui-ci brûlait, ils sautaient dans le feu comme des fous, croyant toujours que ce n’était pas vrai. Dieu a permis la destruction du temple. Il reste détruit à ce jour.

L’hérésie de la papolâtrie est constamment promue par l’évêque Schneider. Cet état de choses au sein de l’Église est pire que n’importe quelle persécution extérieure sous laquelle des dizaines de milliers de martyrs sont morts pour leur fidélité à Jésus et à Ses enseignements. Aujourd’hui, alors que le plus grand hérétique de tous les temps occupe la papauté, l’hérésie de la papolâtrie collabore à la destruction interne des racines fondamentales de la foi et de la morale. Tout en affirmant de façon hypocrite que l’unité extérieure de l’Église ne peut être brisée, les papolâtres ne se soucient pas de l’unité intérieure avec le Christ, qui est la condition du salut. Sous l’influence de cette hérésie, la secte bergoglienne s’emparera ainsi progressivement même des restes de la structure extérieure, à moins que les évêques et leurs diocèses ne se séparent à temps de la secte bergoglienne et de l’hérésie de la papolâtrie.

Bergoglio justifie les crimes les plus graves en disant que c’est « ce que dit l’Esprit Saint aux églises » (Rév.). C’est un mensonge flagrant. Tout cela est, en fait, l’œuvre de l’Antéchrist, et les fruits en témoignent de façon douloureuse. Tout le monde peut voir à ce fruit que l’esprit qui se cache derrière le pseudo-pape Jorge Bergoglio est l’esprit de l’Antéchrist. L’Apôtre parle de l’homme d’iniquité, du fils de la perdition. Et il poursuit : « l’adversaire qui s’élève au-dessus de tout ce qu’on appelle Dieu ou de ce qu’on adore, jusqu’à s’asseoir dans le temple de Dieu, se proclamant lui-même Dieu » (2Th 2:4).

Bergoglio se présente comme étant le représentant visible du Christ sur Terre, bien qu’il se soit consacré publiquement et de manière provocante à Satan au Canada. Sous l’influence d’une fausse obéissance, il force l’Église entière et chacun de ses membres à la rébellion contre le Christ et Ses commandements. En réalité, il est un représentant visible de Satan, à qui il s’est publiquement consacré. Avant même d’usurper la fonction papale, il était venu avec l’intention d’abolir les lois et les commandements de Dieu en promouvant la légalisation de l’iniquité de la sodomie. Bergoglio proclame un enseignement différent, un faux évangile, pour lequel il a été soumis aux multiples anathèmes de Dieu selon Gal 1, 8-9.

L’Apôtre ajoute : « Car le mystère de l’iniquité agit déjà; il faut seulement que celui qui le retient encore ait disparu. Et alors paraîtra l’impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche… L’apparition de cet impie se fera, par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, et avec toutes les séductions de l’iniquité pour ceux qui périssent parce qu’ils n’ont pas reçu l’amour de la vérité pour être sauvés » (2Th 2, 3-10).

L’apôtre Jean désigne à plusieurs reprises le faux prophète dans l’Apocalypse, qui apparaît toujours en relation avec la bête. Saint Jean dit que de la bouche du faux prophète sont sortis trois esprits impurs semblables à des grenouilles (Ap 16, 13). Bergoglio occupe la plus haute fonction de l’Église et est effectivement en union avec la bête. Il influence l’opinion publique mondiale afin de soumettre l’humanité à la bête, il diabolise l’Église via la soi-disant bénédiction des unions sodomites et il présente tous les traits du faux prophète. Rester en union avec lui et tomber dans l’illusion qu’il est le Saint-Père, le Vicaire du Christ sur Terre, est une folie suicidaire.

Saint Bellarmin déclare : « La vraie opinion est donc celle selon laquelle le Pape qui est manifestement hérétique cesse par lui-même d’être Pape et chef, de même qu’il cesse d’être chrétien et membre du corps de l’Eglise; et c’est pour cette raison qu’il peut être jugé et puni par l’Église. C’est l’opinion de tous les Pères qui enseignent que les hérétiques manifestes perdent immédiatement toute juridiction, et notamment celle de saint Cyprien (lib. 4, épist. 2) ».

Premièrement, le fait qu’un pape hérétique puisse être jugé est expressément contenu dans Can. Si Papa dist. 40, ainsi qu’avec Innocent III (serm. 2 de consec. pontif.). Et de plus, lors du 8e Concile (acte 7), les actes du Concile romain sous le pape Hadrien furent récités, et dedans on y trouvait le fait que le pape Honorius semblait avoir été anathématisé à juste titre, parce qu’il avait été convaincu d’hérésie… En fait, Hadrien avec le Concile romain, ou plutôt tout le 8e (ainsi que le 6e) concile général avait senti qu’en cas d’hérésie, un Pontife romain pouvait être jugé… Voilà pour saint Bellarmin.

Comment ce saint réagirait-il face à l’actuel François Bergoglio, qui s’est consacré à Satan et milite pour la légalisation de la sodomie et la bénédiction de ces unions ? Saint Bellarmin aurait pu difficilement imaginer le Siège de Pierre occupé par un homme qui nie les vérités fondamentales par ses actions et force l’apostasie sous la terreur. Mais en même temps, saint Bellarmin convaincrait également la hiérarchie de l’Église d’un aveuglement spirituel incompréhensible quant à la possibilité qu’ils aient élu Bergoglio, qu’ils le respectent et se soumettent à lui à leur détriment et au détriment de l’Église. Il est ahurissant de voir l’état des choses au sein de l’Église lorsque cette dernière rejette systématiquement la vérité, c’est-à-dire le repentir. Saint Bellarmin serait obligé de dire : « Si vous considérez encore un homme qui est en rébellion ouverte contre Dieu et qui possède l’esprit de l’Antéchrist comme étant le chef et le représentant visible du Christ sur Terre, vous avez perdu la tête et vous marchez sur ce qu’on appelle le parcours synodal qui mène à la destruction éternelle ».

Les partisans de l’hérésie de la papolâtrie s’opposeraient sûrement aux paroles de saint Bellarmin : « Nous ne pouvons pas rompre l’unité, nous tomberions dans le schisme ».

Saint Bellarmin leur répondait : « Avez-vous perdu la tête ? Le but de l’être humain consiste à sauver son âme ! La condition pour cela est d’avoir une vraie doctrine et une vraie morale ; c’est sur cela que l’Église catholique est bâtie. La secte bergoglienne est une rébellion contre Dieu et déracine les enseignements fondamentaux de l’Église. Si quelqu’un en détruit les fondements mêmes et que vous vous soumettez à lui, alors c’est votre faute parce que vous n’aimez pas la vérité. Les paroles de l’apôtre Paul dans les Thessaloniciens à propos de la venue de l’Antéchrist, le fils de la perdition, s’appliquent à cette situation. Êtes-vous aveugle et ne pouvez-vous pas le voir ? Les actions de cet homme montrent qu’il n’est pas membre de l’Église et ne peut donc pas en être le chef ». Et saint Bellarmin ajouterait encore aujourd’hui : « C’est l’opinion de tous les Pères, qui enseignent que les hérétiques manifestes perdent immédiatement toute compétence ». Il s’ensuit clairement que Jorge Bergoglio n’est pas un pape !

 

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr            + Timothée OSBMr

Évêques secrétaires

 

Le 2 décembre 2023

 

Téléchargement : PCB : Les enseignements de saint Bellarmin concernant un hérétique siégeant sur le trône papal (2/12/2023)

 

 

Back To Top