Le Nouvel Ordre Mondial et les Droits de l’Homme /Partie 2/
Lvov (Ukraine), le 23 août 2013.
Le président de la République tchèque, V. Klaus, dit : « Le gouvernement mondial émergent a commencé avec, à première vue, un échange innocent des droits civils contre les prétendus droits de l’homme ». Le terme « droits de l’homme » couvre la promotion mondiale de la perversion morale, de l’homosexualité, de la transsexualité, de l’euthanasie, du vol des enfants à leurs parents… Aujourd’hui, les « droits de l’homme » constituent un prétexte pour commettre l’injustice la plus flagrante, ainsi que la destruction des droits fondamentaux de chaque individu. Fondamentalement, un système d’esclavage moderne, de contrôle total et de perte de toute liberté est en train d’être établi.
En confondant les termes, l’ONU commet une fraude internationale. Quel genre de méthode est-ce ? Il s’agit d’un crime, d’une piraterie moderne ! Des crimes contre l’humanité sont perpétrés sournoisement sous la bannière de concepts positifs. Ce ne sont pas les voies empruntées par d’honnêtes gens. Ce sont les voies empruntées par des séducteurs professionnels et des criminels dont le but est de liquider autrui, et en aucun cas de défendre les droits d’autrui. Cette confusion délibérée dans les documents est le corpus delicti (le corps du délit, l’arme du crime) – la preuve selon laquelle l’ONU s’est transformée en une organisation de criminels internationaux. Elle utilise des termes positifs et fait semblant de défendre les droits de l’homme, mais en fait, elle programme les crimes les plus horribles contre l’humanité. Toute personne qui y participe devrait être amenée devant la Cour Internationale de Justice.
Le terme d’éducation sexuelle couvre la démoralisation systématique des enfants et la pénalisation des parents qui protègent leurs enfants. Le terme de violence domestique couvre l’empêchement d’une éducation saine ainsi que la destruction de la famille. Le terme d’égalité des sexes a d’abord été utilisé afin de tromper la législation, en étant présenté simplement comme l’égalité entre les hommes et les femmes. Ce n’est qu’en 2010 que les idéologues du genre ont hissé le drapeau pirate et ont révélé que l’égalité des sexes, en fait, ignore la réalité selon laquelle les gens sont des hommes ou des femmes dès la naissance. Ils disent que l’on peut choisir librement son sexe et avoir une opération afin de changer de sexe. Et cette idéologie perverse est désormais imposée aux enfants dès l’âge de quatre ans. Le terme de lois contre la discrimination couvre la promotion de la dévastation morale à l’échelle mondiale, ainsi que la pénalisation de tous ceux qui n’acceptent pas la perversion. Le terme de droits des enfants couvre l’introduction de mécanismes permettant de voler les enfants à leurs parents aimants.
L’ONU, aujourd’hui, n’a plus rien à voir avec la protection des droits des nations ni avec quelque valeur humaine ou morale que ce soit. Elle doit être jugée par l’humanité. C’est un instrument des banquiers, des Illuminati et des Francs-Maçons consacrés à Satan et qui préparent le génocide de l’humanité sous le couvert de termes positifs !
Avant la fin de la Guerre Froide, le plus haut standard de jurisprudence était le droit international. Sa matière concernait l’Etat souverain. Ce modèle, cependant, fut modifié dans le cadre de la mise en place du Nouvel Ordre Mondial (NWO). Le terme de droit international fut remplacé par le terme de droits de l’homme et personne ne fit attention au fait que c’était quelque chose de complètement différent.
Avant les années 1989/1990, il était clair qu’un Etat était souverain et indépendant, et que tout ce qui se passait dans le pays constituait ses affaires intérieures. Ni l’ONU, ni les Etats-Unis, par exemple, ne pouvaient intervenir dans les affaires intérieures d’un autre Etat, sous le couvert du maintien de l’ordre, sauf dans le cas d’une menace pour la paix à l’échelle planétaire.
Au cours des 20 dernières années, ces principes ont été subtilement modifiés. À l’heure actuelle, le terme préféré est le soi-disant « devoir de protection ». Cela signifie l’ingérence dans les affaires intérieures d’un pays, soi-disant pour des raisons de protection des droits des minorités. C’est pourquoi, aujourd’hui, un Etat après l’autre capitule sous la pression des intrigues supranationales. Nous entendons de toute part : « Droits de l’homme ! Droits de l’homme ! Droits de l’homme ! Nous avons le devoir de les protéger ! Nous avons le devoir de les préserver ! Nous avons le devoir d’intervenir dans les gouvernements nationaux et le devoir de diviser et d’occuper l’Etat pour cette cause, si besoin est ». Les crimes les plus graves ont été étiquetés comme des « droits de l’homme » et, partant, on leur a donné la priorité ! Le droit international et le concept de la souveraineté de l’Etat ont ainsi été expédiés dans les poubelles de l’histoire. Il s’agit d’un tournant dans la fraude internationale.
Aujourd’hui, le concept positif de « droits de l’homme » signifie en fait que les criminels dépravés seront privilégiés, et que les victimes sans défense seront punies. Par exemple : des parents protègent leurs enfants contre la prétendue éducation sexuelle et la dévastation morale commise par les pédophiles et les homosexuels. Les parents sont condamnés à une peine de prison, ils sont accusés de discrimination contre les homosexuels et les pédophiles et de violation des droits (des homo- et des pédo-), ainsi que de violation du droit de l’enfant « à l’information » et « au plaisir sexuel », et par conséquent l’enfant leur est volé.
Les criminels contre l’humanité, les pirates et les trafiquants d’enfants, les pédophiles et les homosexuels qui dévastent les enfants moralement et les torturent mentalement, ne sont plus punis, au contraire, ils sont à l’abri grâce aux soi-disant droits de l’homme ! Ceux qui sont punis, aujourd’hui, sont un père et une mère aimants. Ils n’ont plus le droit de protéger leur enfant.
Selon le droit international précédent, sous lequel les criminels de Nuremberg furent condamnés à mort, la peine de mort devrait être imposée à présent à tous les criminels internationaux. Ils sont maintenant en train de détruire la souveraineté des nations individuelles d’une façon beaucoup plus adroite. Les fascistes occupaient les nations militairement. Les néo-fascistes des organisations supranationales ont adopté un principe international de fraude et de réduction de l’humanité – un Holocauste. Ils utilisent la corruption internationale sous la forme de subventions provenant de prétendus « organismes de bienfaisance » occidentaux qui coopèrent avec les traîtres des nations individuelles.
Via l’ONU et le Nouvel Ordre Mondial (NWO), cette dictature secrète pénètre dans tous les pays, pays qui sont obligés de changer leurs lois et d’adopter des anti-lois menant à la destruction de la famille, de l’individu et de la société. Un exemple est la Convention des Nations-Unies relative aux Droits de l’Enfant et la Convention des Nations-Unies sur la Protection des Enfants. Ceci implique la démoralisation, le vol de masse d’enfants ainsi que les abus qui s’ensuivent pour ces enfants, associés à des dégâts mentaux.
L’humanité, aujourd’hui, doit démasquer cette fraude et arrêter la création du Nouvel Ordre Mondial (NWO), qui est un ordre satanique et antihumain.
La hiérarchie traîtresse du Vatican est impliquée dans l’établissement de ce Nouvel Ordre Mondial maléfique avec les Illuminati, les Francs-Maçons et leurs organisations subordonnées. Par le biais des hérésies, du syncrétisme, de la tolérance face à l’immoralité et de l’unité avec l’esprit des Illuminati et des Francs-Maçons, ces hiérarques ont trahi le Christ et l’Eglise, et ont amené la malédiction de Dieu – l’anathème – sur eux-mêmes, ainsi que sur tous ceux qui sont en union avec eux.
Le Patriarcat Catholique Byzantin et l’Église orthodoxe ukrainienne gréco-catholique, par la présente, condamnent publiquement l’Organisation internationale des Nations-Unies. Nous incitons donc les gens à se repentir et à appeler un mensonge un mensonge, un crime un crime et la justice, la justice. La distorsion des termes dans les traités, les conventions et les recommandations au niveau international, est fondée sur une tromperie astucieuse effectuée dans le but de diaboliser l’humanité et de la réduire – un génocide.
Nous appelons toutes les nations du monde à s’unir contre un ennemi commun, un meurtrier de masse : Satan et ses serviteurs du Nouvel Ordre Mondial qui abusent des organisations du monde, en particulier l’ONU, afin de parvenir au génocide de l’humanité.
+ Elie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin
+ Marcien OSBMr
Chef spirituel de l’ UO GCC.