Le prochain crime de Bergoglio – l’approbation du rite maya /Partie 1/
Regardez cette vidéo sur : https://p.eertu.be/w/1wgYGmaVZqBmXghFKSvvJX https://rumble.com/v5u0gr2-du-rite-maya.html
https://www.bitchute.com/video/L3UNIIrwTkXX/
https://cos.tv/videos/play/57220613396534272
Le 8 novembre 2024, le Vatican a approuvé le rite maya de la messe qui comprendra des danses rituelles, des femmes prenant la place du prêtre afin d’encenser l’autel et afin de diriger certaines prières au cours de la liturgie.
Le Vatican, qui est occupé par Bergoglio, transforme également l’Église en une pseudo-église de l’antéchrist au cours de cette prochaine étape. Dans cette secte qu’il appelle à tort l’Église catholique, il enracine encore plus profondément l’esprit de l’antéchrist à travers le soi-disant rite maya. Bergoglio s’est personnellement consacré à Satan au Canada et, par le biais de la déclaration Fiducia supplicans, a transformé l’Église catholique en une synagogue de Satan dotée d’un anti-évangile sodomite. Que faire pour le salut ?
A ce stade, tout véritable évêque, prêtre et croyant doit sortir de façon radicale de l’usurpateur et de sa secte. Bergoglio abuse de l’autorité et du pouvoir suprêmes de la structure ecclésiastique afin d’amener l’Église catholique à l’autodestruction et à la rébellion contre Dieu. Il veut à présent chasser le Saint-Esprit même des derniers membres de l’Église catholique par la diabolisation de la liturgie. Il transforme ainsi progressivement la liturgie en un rituel païen avec ses gestes typiques du culte des démons. En même temps, Bergoglio poursuit l’ordination progressive des femmes en tant que diacres et prêtresses, ainsi que l’abolition du célibat. Ces trois changements – le changement de la liturgie, l’ordination des femmes et l’abolition du célibat – doivent être mis en œuvre d’ici juin 2025.
Le cardinal mexicain Arizmendi a écrit à propos de ce que l’on appelle le rite maya : « L’approbation du Vatican est ‘la reconnaissance officielle de l’Église par laquelle ces adaptations sont approuvées comme étant valides et légitimes’».
Cette approbation effectuée par le Vatican de Bergoglio est invalide et illégitime. Il s’agit d’un autre abus de l’autorité papale qui a été usurpée. Selon la bulle dogmatique Cum ex apostolatus officio, toutes les actions ou actes effectués par un hérétique, qu’il soit évêque ou pape, sont nuls et non avenus. De plus, le document d’approbation du 8 novembre 2024 est contraire à l’esprit de l’Écriture et de la Tradition. Il est donc hérétique et invalide et chaque véritable évêque ou prêtre est tenu en conscience de ne pas le respecter.
Citation du cardinal concernant le rite maya : « C’est la liturgie de l’Église, et pas seulement ses coutumes et ses habitudes, qui sont considérées avec suspicion ».
Les coutumes et habitudes païennes, derrière lesquelles l’esprit païen – c’est-à-dire le culte des démons- se cache, ont été invalidement élevées au niveau de la liturgie de l’Église par le Vatican apostat de Bergoglio. Bergoglio considère le christianisme et les cultes païens comme des voies égales menant au salut, comme en témoignent le synode amazonien et son discours à Singapour. Il commet un péché contre le Saint-Esprit. Il inclut des coutumes et des habitudes païennes dans la liturgie comme si le Saint-Esprit agissait à travers elles. Mais c’est l’esprit démoniaque qui agit à travers elles ! Et cette confusion délibérée est un péché commis contre le Saint-Esprit. Lorsque Jésus chassa les démons par la puissance de Dieu, il fut accusé de le faire par la puissance de Belzébuth, le diable. L’essence du péché commis contre le Saint-Esprit, c’est que la puissance de Dieu est délibérément attribuée au diable, et vice versa, les manifestations de la puissance du diable sont attribuées à Dieu.
Arizmendi a tenu à souligner l’importance de cette évolution, car il s’agit en effet du deuxième rite de ce type depuis le Concile de Vatican II à être approuvé, l’autre étant le rite du Zaïre en Afrique.
Pourquoi souligner l’importance de cette évolution ? Parce qu’après cette approbation du rite maya, nous pouvons nous attendre à des approbations ultérieures de tels rites, jusqu’au remplacement complet de l’essence de la liturgie par les rites païens, derrière lesquels se cache l’esprit de l’antéchrist. Ce spectacle, qui représente en fait l’adoration des démons et du diable, n’a rien à voir avec la liturgie – avec le sacrifice rédempteur du Christ sur la croix.
Citons le cardinal : « … (de tels rites) sont une forme d’incarnation de la foi dans des expressions très spécifiques à ces cultures ».
Nous nous demandons : quelle est l’incarnation de la foi très spécifique aux cultures païennes ? La foi qui est associée aux cultures païennes est la foi dans les démons et leur influence. Ces soi-disant catholiques, qui ont conservé des cultures ancestrales très spécifiques et des croyances qui y sont associées, n’ont pas vraiment une foi salvatrice. Que leurs ancêtres aient été Mayas ou Aztèques, ils offraient des sacrifices humains aux démons, et même 20 000 sacrifices humains par an. Leurs poitrines étaient ouvertes alors qu’ils étaient vivants, et leurs cœurs sacrifiés aux démons. Voilà ce que sont ces cultures païennes très spécifiques.
Ces catholiques de nom, qui ont l’esprit de leur culture très spécifique associé à la magie, à la divination, à la superstition et à d’autres pratiques païennes, ne possèdent pas l’esprit du Christ, mais l’esprit du paganisme. C’est une tragédie que la hiérarchie apostate de Bergoglio, dans l’esprit de Nostra aetate de Vatican II, revienne délibérément aux coutumes et aux habitudes païennes, et les introduise directement dans la liturgie. Les missionnaires, au contraire, ont sorti les peuples autochtones de l’esclavage du paganisme et de la superstition. Ils ont radicalement renoncé à l’esprit du paganisme et à la culture de mort très spécifique qui lui était associée. Puis ils ont accepté de tout cœur Jésus-Christ comme étant leur seul Sauveur.
Citation du cardinal : « Nous ne les avons pas inventés (les rites), mais nous avons adopté ce qu’ils vivent et qui est conforme au rite romain ».
Personne ne doute que vous n’ayez pas inventé les rites païens. Mais vous les avez délibérément placés au centre sous couvert de la culture. Les soi-disant catholiques qui vivraient ces rites païens auraient en réalité l’esprit du paganisme, et non l’esprit du Christ. La tragédie c’est que vous, prélats apostats, Bergoglio en tête, ayez adopté l’esprit du paganisme et l’incarniez au cours de la liturgie. De cette façon, vous empêchez les païens, que vous n’avez fait que baptiser de façon formelle, de devenir de véritables chrétiens et de sauver leur âme. Vous les maintenez dans les ténèbres spirituelles. De plus, vous incarnez l’esprit du paganisme, même paradoxalement à travers la liturgie, dans toute l’Église. Il s’agit d’un crime vraiment odieux ! Vous ne voulez toujours pas admettre que cette apostasie est le fruit de Nostra aetate, du concile de Vatican II.
Le terme de rite romain s’applique à la liturgie latine, qui était la liturgie de toute l’Église jusqu’au Novus Ordo (nouvel ordre). Bergoglio a maintenant approuvé le rite maya contenant des éléments païens, des danses rituelles d’encensement et d’adoration des démons exécutées par des femmes, et vous prétendez hypocritement que cela est conforme au rite romain. D’une part, c’est contraire au rite romain, et de plus, Bergoglio interdit catégoriquement le rite latin romain. Cependant, il établit ce rite maya en tant que précédent. L’approbation du 8 novembre 2024 appartient à la phase de mise en œuvre du Synode sur la synodalité. Cette approbation a été précédée par l’Instrumentum laboris (l’instrument de travail) du Synode amazonien avec la disposition concernant l’introduction de rites païens dans la liturgie.
Cependant, les documents du Synode amazonien incluent également l’ordination de femmes en tant que diacres, puis comme prêtres et enfin comme évêques, ainsi que l’abolition du célibat. En général, ces documents ont favorisé l’introduction de rites païens dans la liturgie, ce qui, dans la pratique, sert à détruire l’essence du mystère de l’Eucharistie associé à la consécration, qui est la réalisation de la mort rédemptrice du Christ sur la croix. Le culte des démons dans les cultes païens et le mélange de ces rites avec le pur sacrifice du Christ constituent un geste de rébellion contre Dieu et une moquerie blasphématoire de la mort expiatoire de notre Seigneur Jésus-Christ !
Le cardinal a déclaré : « S’il existe des déviations dans certaines coutumes autochtones, nous pouvons les aider à atteindre leur plénitude dans le Christ et dans son Église ».
Ce qu’Arizmendi appelle déviations peut sembler un terme innocent, mais il s’agit en fait de l’esprit du paganisme, qui adore les démons et non Dieu. Il est associé à certains rites et gestes païens. L’Apôtre dit clairement : « Il n’y a pas de communion du Christ avec Bélial, ni de la lumière avec les ténèbres » (cf. 2Co 6, 14-15). Dire que l’esprit du paganisme peut atteindre sa plénitude dans le Christ, constitue une hérésie absurde ! Mais cette hérésie se fonde sur la déclaration Nostra aetate de Vatican II et sur le soi-disant dialogue interreligieux.
Avec la légalisation par Bergoglio de l’anti-évangile sodomite contenu dans la déclaration Fiducia supplicans, les catholiques trompés ont été secrètement attirés dans sa secte antichristique. Bergoglio introduit maintenant une anti-liturgie pour sa secte, dont l’essence est l’esprit du paganisme, l’adoration des démons et de Satan. Aucun véritable évêque, prêtre ou croyant catholique ne peut plus rester dans cette secte de Bergoglio. La parole de Dieu est contraignante dans cette situation : « Mon peuple, sors de la Babylone de Bergoglio ! ».
+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin
+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Évêques secrétaires
Le 23 novembre 2024
Téléchargement : PCB : Le prochain crime de Bergoglio – l’approbation du rite maya /Partie 1/ (23/11/24)