Chers évêques émérites : soyez unis à la fidélité au Christ et à l’Église représentée par Carlo Maria Viganò, véritable berger du Christ
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Chers évêques émérites,
Les plus jeunes d’entre vous ont franchi le cap des 75 ans, les plus âgés celui des 90 ans. Vous ne connaissez ni le jour ni l’heure. Vous serez bientôt confrontés à la mort, au jugement de Dieu, puis au paradis ou à l’enfer. Aujourd’hui, alors que le pseudo-pape Bergoglio abolit les vérités fondamentales de la foi et de la morale, Dieu attend de vous que vous défendiez clairement et résolument les enseignements du Christ en tant que véritables confesseurs, voire en tant que martyrs. Vous n’avez rien à perdre en ces temps difficiles. Bergoglio ne peut vous punir en aucune façon ; il ne peut punir que ceux qui occupent encore des fonctions ecclésiastiques. Ils peuvent peut-être se faire des illusions : « Je dois me taire, et garder le silence sur ces terribles crimes, car Bergoglio et sa secte me dépouilleraient immédiatement de ma fonction et me vilipenderaient dans les médias, comme cela est déjà arrivé à beaucoup d’autres. » Adopter cette attitude à un moment où il est nécessaire de témoigner du Christ, constitue une trahison. De nombreux évêques aujourd’hui n’ont pas à cœur le salut des âmes et la fidélité au Christ, mais plutôt leur propre carrière. Jésus a clairement dit : « Celui qui me reniera devant les hommes, je le renierai aussi devant mon Père qui est dans les cieux » (Mt 10:33).
La vie des martyrs des trois premiers siècles témoigne qu’ils ont pris ces paroles au sérieux et qu’ils ont souffert non seulement la mort, mais aussi de terribles tortures. Chers évêques émérites, vous ne subirez aucune torture pour avoir confessé votre foi au Christ. Mais si vous utilisez l’excuse consistant à dire que vous voulez vivre votre vie dans la soi-disant paix, dans la soi-disant Église catholique, alors rendez-vous compte que dans l’unité avec le pseudo-pape Bergoglio, on ne peut plus parler d’Église catholique, ni même de christianisme. Les commandements de Dieu sont violés et nous assistons à la promotion de l’homosexualité, voire des mariages sodomites ! Le pseudo-pape a intronisé le démon Pachamama dans la basilique principale de l’Eglise et a été consacré aux démons au Canada sous la direction d’un chaman sifflant dans un os de dinde sauvage.
Ceci est une apostasie publique ! Vous êtes obligé d’admonester (le pseudo-pape) publiquement et de dire clairement que les mesures apostates qu’il prend sont en complète contradiction avec les enseignements du Christ et de toute la tradition catholique et chrétienne. Mais vous vous taisez, et vous en êtes donc responsable. Comment vous tiendrez-vous devant le jugement de Dieu ?
La parabole du figuier stérile du Christ s’applique pleinement à vous. Jésus dit : « Un homme avait planté un figuier dans sa vigne. Il vint chercher du fruit sur cet arbre et n’en trouva pas. Il dit alors au gardien de sa vigne : “Regarde, depuis trois ans, je viens chercher du fruit sur ce figuier et je n’en trouve pas. Coupe-le, pourquoi occupe-t-il la terre ?”. Mais il lui répondit : « Monsieur, laissez-le encore un an, le temps que je creuse autour et que je le fertilise. Et s’il porte du fruit, tant mieux. Sinon, vous pourrez le couper » (Lc 13, 6-9).
Cher évêque émérite, vous ne portez pas le fruit du repentir, même trois décennies après votre consécration épiscopale. Au contraire, vous portez le fruit de la trahison, de la lâcheté et de l’outrage. Peut-être que les paroles « encore un an » vous sont adressées. Mais cela ne doit même pas durer un an. L’Écriture prévient : « Aujourd’hui, si vous voulez entendre sa voix, n’endurcissez pas vos cœurs ». Et Jésus vous rappelle encore : « Soyez prêts, car vous ne connaissez ni le jour, ni l’heure ». L’état de lâche silence dans lequel vous vous trouvez maintenant est un état d’impénitence. Vous êtes le figuier stérile. Et Jésus dit clairement : « Si vous ne vous repentez pas, vous périrez aussi ». Grâce à cette lettre, Dieu vous donne votre dernière chance de défendre publiquement le Seigneur Jésus-Christ et son enseignement, que Сarlo Maria Viganò, ancien Nonce américain et fidèle berger du Christ, proclame et pour lequel il souffre.
Si vous reniez notre Seigneur et Sauveur par votre silence cette fois encore, vous montrerez que vous approuvez la voie de l’apostasie de masse. Cela vous rend pleinement responsable de tous les crimes commis par Bergoglio et sa secte, qui ont usurpé la direction de l’Église. La mort viendra bientôt pour vous, et vous serez coupé de la vigne de Dieu, qui est l’Église, non seulement l’Église militante, mais aussi l’Église triomphante. Cela signifie que vous serez condamnés à l’enfer pour toujours. Vous en êtes conscient, cher évêque émérite ? Vous avez l’autorité épiscopale, même si vous n’êtes pas en fonction. Dieu exigera de votre main le sang de ceux qui ont succombé à l’anti-évangile sodomite et idolâtre de Bergoglio et contre lequel vous avez négligé de prévenir ! Ils sont donc sur le large chemin de la damnation éternelle. Vous étiez obligé de les avertir. Vous étiez obligé de défendre publiquement les enseignements du Christ contre l’anti-évangile de Bergoglio, qui place l’Église sous l’anathème. Vous, évêque émérite, êtes plus à blâmer que les évêques actuels en fonction. Pourquoi ? Parce que vous avez reçu une formation sacerdotale catholique solide, et que vous savez bien ce qui est et ce qui n’est pas l’enseignement catholique.
En ce qui concerne la génération empoisonnée de prêtres ayant suivi Vatican II, génération qui n’était plus enracinée dans le véritable enseignement, il faut tenir compte d’une circonstance quelque peu atténuante.
Cher évêque émérite, vous vous demandez ce qu’il faut faire concrètement pour résister au jugement de Dieu ? La réponse est l’exemple du fidèle berger С. M. Viganò. Il a donné un témoignage public de sa foi devant le monde entier ! Il a appelé l’hérétique du bureau papal à démissionner ! Il est suffisant pour vous de publier : « Je confesse les enseignements salvateurs du Christ, et je rejoins la position du berger du Christ, С. M. Viganò. En même temps, suivant son exemple, je me sépare de la profonde apostasie actuelle, qui conduit à l’autodestruction de l’Église ».
Les médias alternatifs diffuseront votre confession au monde entier, et vous serez inscrit dans le livre de vie en tant que confesseur du Christ. Vous jouirez du respect des fidèles, et ils visiteront votre tombe avec gratitude. Et surtout, la récompense éternelle vous attend au ciel.
+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin
Le 3 octobre 2022