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Comment les choses se passeront-elles après la mort du pseudo-pape Bergoglio ?

Regardez cette vidéo sur : https://youtu.be/wGiFkMMcAAM  
https://rumble.com/v6pfpvr-aprs-la-mort-bergoglio.html   
https://www.bitchute.com/video/8cJcLsqHz9PZ/   
https://cos.tv/videos/play/59251947034678272   

Le 23 février, les médias publics ont rapporté que l’état de santé de Jorge Mario Bergoglio était critique. Cela signifie que sa mort imminente doit être sérieusement envisagée. S’il se rétablit, il faudra encore faire face à la vérité et aborder la question de la crise la plus profonde que l’Église ait jamais connue au cours de son existence.

Il faut établir un véritable diagnostic et en tirer un vrai pronostic afin de trouver une solution.

Bref diagnostic :

Jorge Mario Bergoglio s’est attiré de multiples excommunications latae sententiae, c’est-à-dire la sanction ecclésiastique la plus grave : l’excommunication de l’Église. Selon les enseignements des Saintes Écritures (Ga 1, 8-9), des Pères de l’Église – saint Cyprien, saint Jérôme, saint Augustin – et des Docteurs de l’Église – saint Alphonse de Liguori, saint Robert Bellarmin, saint François de Sales et d’autres – un pape qui s’est excommunié de l’Église pour hérésie ne peut en être le chef. De plus, la bulle dogmatique Cum ex apostolatus officio (1559) stipule qu’un pape qui a commis une hérésie publique perd automatiquement sa charge et que toutes ses actions, et que ses actes sont nuls et non avenus. L’Écriture dit : « Quiconque prêche un autre Évangile, fût-ce un ange du ciel, qu’il soit maudit – anathème – excommunié ». Bergoglio prêche un anti-évangile différent, sodomite, il s’est donc attiré la malédiction de Dieu et l’excommunication de l’Église.

Le 18 décembre 2023, le pseudo-pape Bergoglio, en publiant sa déclaration doctrinale, a déclaré l’hérésie ex cathedra ! Soit cela fait s’effondrer le dogme de l’infaillibilité, soit c’est une preuve supplémentaire que Bergoglio est un apostat, et non un pape. Le fait est que Bergoglio s’est séparé du Corps mystique du Christ et a fondé son anti-église à l’aide d’un anti-évangile sodomite, qui constitue la voie de la destruction. La voie de Jésus, en revanche, est la voie du salut.

De façon dogmatique et canonique, François Bergoglio n’est pas un pape valide. Mais en tant que pape invalide, il a nommé la plupart des cardinaux. Selon la bulle dogmatique, leur nomination est invalide, car toutes les actions et tous les actes d’un pape hérétique sont nuls et non avenus. Ces soi-disant cardinaux, comme l’Argentin Fernández, l’Africain Besungu, le jésuite Hollerich et d’autres comme eux, ont embrassé l’esprit d’apostasie de Bergoglio et sont en unité intérieure avec lui. Ils ont ainsi attiré sur eux l’anathème de Dieu et ne peuvent pas élire un pape valide. Ils ne peuvent élire que des successeurs de l’apostat, c’est-à-dire le pseudo-pape n° 2, n° 3, etc.

La tragédie, c’est qu’en dehors des évêques d’Afrique et de certaines parties de l’Europe de l’Est, les évêques de régions comme l’Amérique du Nord et du Sud et l’Europe occidentale, par le biais de leurs conférences épiscopales, ont attiré sur eux l’anathème de Dieu – une malédiction. Ils ont renoncé à l’Évangile du Christ et ont reçu un anti-évangile sodomite. En rébellion contre Dieu, en acceptant la déclaration Fiducia supplicans, ils se sont exclus de l’Église. Les prêtres et les fidèles sont obligés de se distancer de ces évêques traîtres. L’Église catholique n’a pas de pape, et Bergoglio a, par le fait même, aboli l’institution papale en abolissant la doctrine catholique.

Quel est le pronostic ?

Première option : les cardinaux invalides éliront de façon non valable un autre partisan de la rébellion immorale LGBTQ contre Dieu.

Deuxième option : les cardinaux invalides éliront de façon non valable un cardinal moral, comme le cardinal Müller. Il ne fera alors que stabiliser l’état actuel de l’anti-église, même s’il ne proclamera pas lui-même d’hérésies. Il ne s’opposera pas au courant hérétique dont les racines remontent à Vatican II.

Troisième option : si l’archevêque Carlo Maria Viganò était élu par miracle et que les obstacles à son élection par des cardinaux invalides étaient alors levés, le système apostat du Vatican se rebellerait contre lui et le destituerait.

Le concile de Constance se trouvait dans une situation similaire. Il y avait trois papes, à l’époque. Le concile a réglé les choses en supprimant toutes les règles de l’Église et en utilisant l’hérésie du conciliarisme, ce qui signifie que le concile a pris l’autorité suprême de l’Église et le pape Martin V a été élu. Les choses se sont passées ainsi : en 1414, le roi de Bohême, l’empereur du Saint-Empire romain germanique Sigismond, força Jean XXIII (Baldassarre Cossa) à convoquer un concile général à Constance. Le 6 avril, le concile promulgua le décret hérétique « Haec sancta synodus », qui plaçait l’autorité du concile au-dessus de celle du pape. Le concile condamna Jean XXIII à la prison pour simonie et pour un mode de vie sordide. Il mourut des suites de sa détention. Mais le Concile déposa aussi Grégoire XII et Benoît XIII. Après la déposition de ces trois papes, le prélat Colonna fut élu de façon miraculeuse et prit le nom de Martin V. Il abolit ensuite l’autorité suprême du concile qui l’avait aidé à accéder à la papauté.

Aujourd’hui, il ne s’agit pas seulement d’une question de droit canonique, mais surtout d’une question de dogme. Le courant hérétique a remplacé l’Évangile du Christ par l’anti-évangile sodomite Fiducia supplicans. Le pseudo-pape Bergoglio a abrogé la doctrine catholique. Bien qu’il occupe la fonction papale, il se trouve déjà à la tête de son anti-église.

Qu’avons-nous comme point de départ réaliste ? Le Vatican est sous la domination du système de l’anti-christ et n’acceptera pas de vrai pape. Si un vrai pape doit être élu, il faut créer une structure alternative, un arrière-plan solide. Bergoglio a déjà déchiré l’Église, non seulement par son schisme avec la véritable Église, mais aussi par son apostasie du Christ et par son Évangile, en introduisant un autre anti-évangile sodomite.

La pseudo-Église schismatique de Bergoglio est la synagogue de Satan. C’est pourquoi il est nécessaire de créer de véritables patriarcats catholiques. Ils trouvent leur justification dans l’histoire de l’Église. La marque essentielle de la véritable fondation catholique de ces patriarcats doit être leur séparation non seulement du faux pape apostat et de son anti-Église, mais aussi des racines spirituelles qui ont créé les conditions de l’apostasie actuelle. Ces racines empoisonnées sont la lettre et l’esprit du Concile de Vatican II. Le Concile, par la déclaration Nostra aetate, a imposé l’hérésie du syncrétisme et a ouvert la porte à l’hérésie du modernisme. Il a également proclamé l’aggiornamento (la mise à jour) avec l’esprit du monde. Par conséquent, si l’Église doit être renouvelée depuis la racine même, ce Concile hérétique doit être aboli.

En ce qui concerne l’établissement d’un véritable patriarcat catholique en Afrique, il suffit aux évêques de se libérer de la domination du laquais de Bergoglio, le cardinal Besungu, et d’élire un patriarche parmi les véritables évêques. Ensuite, l’Église des Amériques doit suivre son exemple, et élire également ses vrais patriarches catholiques. Pour commencer, il suffit que deux ou trois évêques et leurs diocèses se séparent des conférences épiscopales qui ont adopté la Fiducia supplicans hérétique et suicidaire et la voie synodale d’apostasie et d’autodestruction de Bergoglio. Ce qui s’applique à l’Amérique s’applique également à l’Europe de l’Est et à d’autres régions. Il faut une alternative solide. Les patriarches pourront alors restaurer l’institution de la papauté en élisant un vrai pape. Quant à son siège, ce ne peut certainement pas être le Vatican pour le moment.

Le but suprême de l’Église est le salut des âmes immortelles. Tous les canons, tous les dogmes et toute l’institution de l’Église doivent servir ce but. C’est pourquoi, malgré toutes les hérésies et les intrigues, il faut proclamer la repentance, qui est liée à la foi en Jésus-Christ. Il est important de le savoir : il n’y a de salut en aucun autre (Actes 4, 12). Il faut en tenir compte.

Le Patriarcat Catholique Byzantin, qui n’est que la voix de celui qui crie dans le désert, encourage désormais les évêques, les prêtres et les croyants catholiques à prier. Unissons-nous dans la prière, de 20h à 21h, et demandons à Dieu de créer les conditions pour un véritable renouveau de l’Église. Que la Mère de Dieu, la Mère de l’Église, renforce nos prières par son intercession et les offre avec insistance au Dieu Tout-Puissant et Très Saint.

 

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr          + Timothée OSBMr

Évêques secrétaires

 

Le 24 février 2025

 

Téléchargement : PCB : Comment les choses se passeront-elles après la mort du pseudo-pape Bergoglio ? (24/2/2025)

 

 

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